Wednesday, June 13, 2007

Rêves sans trêve... Des chiens du Courir de Toulon


ça vous arrive souvent de faire des rêves complètement débiles, sans queue ni tête ? Je suppose que si...

Du côté de l'un de mes chez moi, le Chili, il existe une tribu indienne dont les membres ont besoin d'avoir quelqu'un à côté d'eux quand ils se réveillent pour raconter, tout de suite, leurs rêves. Une façon de se décharger du contenu onirique de leurs nuits, avec sûrement des vertus thérapeutiques et/ou religieuses.
Moi j'ai pas (toujours) quelqu'un à côté quand je me réveille... Du coup, bah, voilà, je le bloggise... Le rêve de tout à l'heure (vers 21:30) était du n'importe quoi !

J'ai rêvé que quelqu'un me racontait qu'il avait touché des dommages et intérêts parce qu'il était sur l'autoroute et qu'il avait été attaqué par des chiens du magasin Courir de Toulon ! Hop, il avait vu apparaître un pitbull, qu'il avait trouvé mignon, puis deux et ensuite il s'était fait coursé par une meute de clebs alors qu'il roulait !!
Du coup, l'analyse que j'en ai faite est pour le moins propre à mon histoire personnelle et à mes aspirations...


Des dommages et intérêts ? Parce que je suis obsédé par l'argent ces temps-ci !

Des chiens comme source de danger ? Parce que j'ai toujours trouvé les clébards vicieux et potentiellement dangeureux.

Courir ? Première (mauvaise) expérience de travail... C'est donc à classer dans la catégorie catastrophes et problèmes. Et pour la cohérence interne du rêve, fallait expliquer pourquoi des chiens parvenait à rattraper des voiture. Donc glissement de sens, du nom d'une enseigne à une performance canine impossible.

De Toulon ? Le côté ville frontiste sûrement. Des chiens agressifs, prêts à attaquer les "gens de passage" sur l'autoroute !

Comme je disais, n'importe quoi ce rêve...

Et encore, j'évoque pas ici d'autres rêves bien plus barrés avec des ex réelles ou fantasmés qui me poursuivent tout à la fois de leurs assiduités et de leurs foudres, pour des raisons cryptiques dans des lieux improbables et des situations rocambolesques, tout ça dans des ambiances à la Philip K. Dick.

Je parlerais pas non plus des délires sûrement dus à des lectures ou des matage de films mal digérés où je me prends tour à tour pour un Chevalier du Zodiaque, un vampire ridicule où un être asexué qui doit choisir son sexe au cours d'un procès... Enfin... J'en parlerais en tout cas pas dans cet article...

4 comments:

Anonymous said...

Huhu, j'aime beaucoup le rêve du dilemme de l'asexué. Y'avait que deux choix possibles ou plus?
Sinon j'ai beaucoup aimé cette petite tranche d'oniroblog.
A quand la suite? Vite, des rêves à rallonge, des sagas épiques en trente nuits, ou un cycle des mille et une siestes où des agents du fisc mutants séquestrent dans la Cour des Comptes des elfes à forte poitrine, ou alors des cauchemars conspirationnistes (heu, "L'Avis d'Imposition Galilée" par exemple): C'est ça qui se vend le mieux dans le business du marchand de sable.
Ou pas.
Bonne journée à toi, et surtout, bonne nuit!

Albumine Ragnagna

Jacques Fuentealba said...

J'ai déjà rêvé à plusieurs reprises d'un même lieu, de potes/copines que j'ai pas dans la vie réelle, je suppose que ça doit arriver à tout le monde, rêver des couleurs-qui-existent-pas (alors ça c'est très strange, Albumine, je t'assure !) et mélanger souvenir et rêve aussi (je reprends l'idée dans un de mes textes en cours de finition depuis quelques mois déjà...) et pour le reste, bah je vais pas tout raconter sinon, y'a pu de suspense !

Sinon y'avait que deux choix. Enfin a priori. Mais dans l'assistance la foule était "bigarrée", maintenant que j'en parle je m'en rappelle d'ailleurs, c'était dans un amphi de la Sorbonne (une version bizarre du grand Amphi) et c'était le procès de pas mal de monde (les présents dans l'amphi). Et la foule "bigarrée" étaient tous plus ou moins des monstres, même s'ils avaient des gueules humaines, je savais qu'ils étaient "freaks". Vous voyez que Cabal m'a bouffé la tête !!

Anonymous said...

lol, c'est peut etre parce que je te parle souvent de DI mais bon... De plus y a des chiens qui sont VRAIMENT dangerous donc ce n'est pas que tu n'aimes pas les chiens, d'ailleurs je ne comprends pas pourquoi, ton pere "adore" les animaux.

Jacques Fuentealba said...

Mon père adore toutes les créatures vivantes sur cette terre... Me demande pas comment il fait ! Du moins, c'est souvent l'impression que j'ai !